samedi 19 décembre 2009

Frankie Pain la conteuse :un témoignage


Elle chérit les contes merveilleuxLieu du plus grand bonheur des auditeurs

Ils rêvent, s'envolent , saisissent pour des . . .parts manquantes
Des particules essentielles
pouvant constituer du plus
dans la douilletterie
de leur machinerie de leur paquebot
vie. .

Le rire y est présent,
il ricoche en éclat,
de la complicité qu’elle sait créer,

Certains résistent à son charme,
refusent l’envoûtement
. . elle n’a pas la griffe de Chevilly,
ni celle de Gougaud, Bruno de la Salle. . .
et pourtant elle s’est frottée à leur enseignement en direct
ou à travers les conteurs ayant poli leur marmiteuse,
leur bol tibétain
les vibrations des textes anciens,

à eux et ailleurs , encore , . . .

comme l’écrit dans son livre Michel Hindenock : « Conter est un art »

&
elle ne termine pas une racontée
sans son traité de gourmandise

&
elle offre la possibilité d'improviser son auditoire
ainsi elle écrit à vue eux chacun lanceur de mots
ainsi
l'histoire de son chevalier au rhinocéros à la corne d'or,ne fut écrit . .
qu'à cette fabrique .

ou
Le public choisit
le conte dans lequel il s'improvise
grand couteau,
cuistot
en essayant d’égaler le charme et la chaleur
de Cyril de Lignac connu avec les " dîners presque parfait" de la chaine TV 6

Son art oratoire porte les alluvions
de tous les chuchotements
au chevet de sa table de radio

En attendant que le produit de contraste coule
elle faisait raconter à ses patients. .

Des histoires .

Elle se rappelle leurs histoires de chasses
dans la forêt du cap ferret et le passage des palombes,
ainsi que leur passage dans le col des Pyrénées,

et quand elle était de gardes les jours de l’ouverture de la chasse
il y avait des coups de fusils qui avaient l’air
de drôle et sanglant règlement de comptes,

les histoires
qu’elle inventait avec les enfants dont elle avait le soin
dans la maison de pêche sur les bord de la Gironde

Dans sa langue
elle porte la chevauchée fantastique de toutes les lignes de ses lectures
des montagnes russes des états d’âme humaine
qu’elle dut interpréter à la scène comme à l’écran

&
pour pendant plus de dix ans interpréter les auteurs du répertoire et d’autres moins connus
contemporain, trop azoté comme disait un jour Tibergin de bordeaux pour sa pièce les » Marylin marrons » épisode 5 de sa saga
« Les fracasseries de Rose de Pauilliac »
dont elle avait eu l’accord de l’interpréte Jean Claude Dreyfus

L’aventure cinématographique
Épouser le réalisateur
en terme de "modèle" comme elle pose pour un peintre ou un sculpteur
et se fondre pour le fantasme, le rêve du créateur réalisateur
dans la malléabilité de son corps plantureux
et débordant d’âme comme une de ses origines de Mongolie
lui tracent le chemins des grands élans slaves


&
se taire ,
pour entendre les mots
se confier à elle

en la voyant et l’entendant
comme un fleuve après la mousson
Nous avons du mal à l’ imaginer
Cette grande taiseuse

pour écrire dit-elle : il faut des "taires", terres, se taire"


Si à votre bouche vous imaginer qu’elle est skizophréne ou de biens d’autres gros mots aussi grossier
Rappelez-vous Gérard Depardieu disant à Fanny Ardant dans le Colonel Chabert de Balzac :
« Dire de quelqu’un qu’il est fou c’est être criminel »


J’espère qu’un jour vous aurez le plaisir de l’entendre.
Dépêchez-vous sa patience à des limites ,
elle a tant galère-rè-
qu’elle ne sortira pas souvent aprés sa procahine retraite
De sa toundra
où j’ai vent qu’elle part
bientôt
sur la route de sa babouska Moon Souk Sun
l'ancêtre La Mangou
pour chercher les derniers pans de fourrures
pour l’écriture de son tour de contes "La robeuse des châteaux" ou "La robe de l’inachevée . . "

Christian Justo du Marais Mouillé
L’auteur de ce mot grand admirateur voulut aider Françoise Frankie a dresse les verbes irréguliers dans le passé simple
Ilne le put

On continue à appeler son égérie « Passé Simple » dans les festivals de conte

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire