lundi 1 août 2011

atelier d'écriture l'HAJAT la soirée avec la dame en jaune , le miel, .....LE CONCEPT "MONSIEUR BéZIER"





1
Petite je détestais
E miel nectar des DIEUX
POUR TOUTE CHOSE IL FAUT LE TEMPS
De se faire un palais
Une oreille
Une chatte !

2
Papier teneur d’odeurs
La réminiscence
Un réel dépôt de senteurs
La trace de l’infidélité
Une fragrance inconnue dans la maison
Sur le col de sa chemise de Monsieur Bézier
La chaleur était insoutenable aujourd’hui
Depuis ce matin mon Bézier est en visite de chantier
Il rentre la bouche en cœur avec un bouquet de fleur
Et il sent la savonnette CADUM
A la maison c’est la savonnette à l’huile d’olive
Avec le parfum au tilleul

3
Pain d’épices
Un enfant en pain d’épice
qui parlait : « petite fille
si tu m’aimes ne me mange pas » .
OUI, c’était pour çà que je ne mangeais pas le pain d’épice


4
LE PÖLE NORD
LE PÔLE SUD
LE PÔLE EMPLOI
A l’équateur
C’est chaud surtout
En crise économique
On donne à bouffer du travail
A ceux qui ont quoi ? :
-Des couilles …
-PARDON

- pas obligatoirement
l’argent les remplace parfois
Çà ne pousse pas sine qua non

- quoi ?

- Non le pognon !



5
Étouffe chrétienne
Un mâle comme Monsieur Bézier 2
Qui ne veut pas présenter son amie à sa maman
Il a soixante ans
On dit que les relations entre mère fils dures longtemps,
A ce point !
Je pense qu’elle a bon dos !
Et pourtant cette charmante dame partage la fraîcheur de ses draps
Plusieurs fois par semaine
Depuis 5 ANS
ATTENDRE LE CIMETIERE ,
LE TEMPS DU DEUIL
Pour penser aux épousailles
Investissement à fond perdu

Il y a des hommes qui ne se nomment pas ainsi , il se donne
De savante excuse
Mais ce sont des « faux soie yeurs », fossoyeurs du jardin de leurs dames
Leur territoire
Un terrain de golfe

Une carte postale n’est pas un territoire


6
Mère torride
Empreinte, Emprunte ineffaçablement
Mère pas prêtable, prêteuse
Il en tête gai ou torro des fuegos
Serial killer de l’ego
Pardon messieurs
Vous n’êtes pas tous des « monsieur Bézier »
Heureusement
Comment tiendraient la France ?…
Et j’ai beaucoup d’amies mariées qui s’éclatent merveilleusement,
FAUT AVOIR LA MAIN VERTE
Je ne sais pas choisir les melons
Sauf les charentais
Pas mérite je suis charentaise
Et en plus ils sont tous bons

Je dédicace ce texte à quelqu’un que j’aime
Et à qui ont fait passer un drôle de voyage à Béziers

7
LE MIEL DE Vosges
Je revenais de tourner un film à NANCYl
L’apiculteur était assis à côté de moi dans le train
Il m’a parlé de la transhumance de ces ruches la nuit précédente
Sur son tracteur, l’amour de cet homme pour ses demoiselles
Son inquiétude avec la bête venue d’Asie
A la fin, il allait livrer ses pots à une boutique Bio
Je n’ai su résister, il m’a vendu un pot sur sa commande
Je l’ai mangé avec une délectation, la couleur ,
Le goût de ce miel de sapins des Vosges.
JE DONNERAI L’Adresse Où IL VENT , vend à NANCY

8
L’Apiculteur , Braconnier de VENDée
C’est une histoire que j’ai en mon répertoire
Elle s’appelle le collet
Un jour je vous la mettrais …

9
Douleur de terre de SIENNE
Absence mystique de Catherine de Sienne
Quand on voit son visage nous la sentons
Comme absorber dans une grande forme d'être très au delà
La course des chevaux fête de SIENNE ,
AUTOUR DE LA PLACE
La maison dans le maquis avec cette allée de citronniers,
La faMille de FRANSCHESKO
QUI NOUS ACCEUILIT
LES PLATS PETITS LES GRANDS PLATS
LES SPAGETTIS AL DENTE

LES MIEL DES ORANGERS DU FORUM DE ROME

10
BONNE DANS LES CHATEAUX DU MAINE ET LOIRE
Je mordis enfin dans une tartine de miel trempée dans le thé
Nouvelle sensation au palais
PETER e correspondant anglais de la fille de la patronne
Assista à ma première bouchée
Et linguiste des dialectes africains en Afrique de l’ouest et Afrique du sud
Fut passionnée de ma langue tellement inexacte
Qu’elle en tomba amoureux comme le docteur HIging
DE pigmallion avec mademoiselle DOLITTLE
ET JAMAIS IL NE ME LÄCHAIT
Cuisinière au château il m’aidait aux épluchures
M’aidait à essuyer la vaisselle
M’emmener nageait dans les carrières derrière les terres du château
Enamourer du surgissement de ma langue
Comme quoi c’est bizarre la vie
Grâce à a complicité de tous les correspondants de a fille de la patronne et
La fille de la patronne je fis mon premier séjour de travail
Dans un état de labeurs mais de joie permanente
Avant è nanas avaient défilées et elles étaient toutes parties
Car la patronne était une chiante et méchante
Depuis j’adore manger des tartines de beurre au miel
Il m’arrive de voir le visage de PETER DANS LE REFFLET DE MON BOL
C’est avec PETER que j’ai dansé mon premier slow

Le jour de son départ il était triste
Il m’a serré très fort contre lui.
Il m’a dit grandie vite : et je t’envoie un billet pour me rejoindre
Un été à Johannesburg

IL A Tenu parole
C’était une ambiance AOUT OF africain
Et nous avons fait du terrain.
C’est incroyable la richesse des langues africaines

Là quand il m’a remis à l’avion,
Il m’a embrassé un baiser qui avait le goût du miel
Et i fut mon premier baiser.
Il m’arrive certains jours de grandes chaleurs
De retrouver ce premier baiser.

C’est étrange pourquoi certains hommes n’embrasse pas
S’il savait à quel point cela peut être la source d’une très grande extase.
Ca me fait penser à certains petzouilles qui mettent de l’eau
Dans leur vin millésimé je n’ose citer le vin dont je fus témoin d’un tel méfait
Encore un monsieur Bézier.


De Frankie PAIN ATELIER D’Ecritures L’Hajat
Avec la dame en Jaune
Mercredi 25 JUILLET 2011
Catarina Benincasa (née le 25 mars 1347 à Sienne, en Toscane et morte le 29 avril 1380 à Rome) est une mystique, tertiaire dominicaine et théologienne.
Canonisée en 1461, elle a été proclamée docteur de l'Église (en même temps que Thérèse d'Avila) par le pape Paul VI, le 4 octobre 1970. Sa fête est fixée au 29 avril.
Ce docteur de l'Église ne savait pas écrire et ignorait le latin[1]. Les œuvres qu'elle a dictées sont considérables, par leur ampleur, leur contenu et aussi leur importance dans l'histoire de la langue italienne.
Elle est la sainte protectrice des journalistes et des médias (Internet inclus[réf. nécessaire]), ainsi que de tous les métiers de la communication, en raison de son œuvre pour la papauté.
Elle est déclarée co-sainte patronne de l'Europe par le pape Jean-Paul II le 1er octobre 1999, à l'ouverture du synode des évêques sur l'Europe, en même temps que Brigitte de Suède et Edith Stein (Thérèse-Bénédicte de la Croix). [2].

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire