lundi 20 février 2012

atelier d'écriture d'olivier Apert médiathéque Marguerite Duras

Patience et la Porte







Patience a revêtu sa robe de passage…
Elle est longue avec une traine de 2 fois sa hauteur.
Quelle couleur pourrait-on dire ?
Limée, poncée , déteint, mitée, frangée. Les Parques l’ont tissé . La base de la couture est du chanvre, pour les jointure : les filaments de mue des trois Méduse . Et, les filaments issue de la fonte bouclier de Persée
Poséidon y a soufflé l’essence des algues, la chiante des oiseaux des mers.. L’anémone de mer a offert ses violets de la saison des ruts, ses opalines, ses cils vibratiles ses oranger ses fuchsias , ses pieds ventouses des heures de marée et de chasse.
L’étrille a donné le vermillon de ses semence. Des gorgones : leurs coraux oranges et l’impression de filigrane de la texture de la robe de Patience .




La chevelure de patience. Elle n’avait pas été sage avec la toison d’or. Quand elle se coiffait des heures avec son peigne de corne de Licorne rare l’absence d’oiseaux autour d’elle.
Dressés par Nasrédin ils venaient faire mouillette avec les miettes de pain, les rouler dans la poudre d’or qui s’amoncelait autour de Patience . Patience avait eu le temps de les connaître par leurs prénoms .

Patience quitta sa caverne troglodyte au dessus de Delphes, elle avait reçu une très pire et bonne nouvelle de la Pythie par Tirésias et son chien.
« Ma chère Patience , les Alcibiades vont enfin défaire leur empreinte de toi . Prend la route je garde ton logis »
Patience
Tu as raison mon lit sera chaud à mon retour et j’adore ton odeur : tu sens les grands mythes, j’adore…


Elle avait attelé son « chariot’ boudoir » tiré par une armée d’escargots géants reliés de
bave en bave leur harnais de la procession.

Etrange ce jour, son cœur ne battait pas comme autrefois, ni comme hier.une paix intense s’était installée dans 45 pulsations minutes se rythme la tenait au dessus de l’état d’évanescence.

Patience fit claquer son fouet de cordes de cristal
et dans un borborygme prés du chant des sirènes sa monture de ses adorables hermaphrodites se mire sur orbite . Lla caravane traça sa glisse la vitesse dans ses pointes s’apparentait à la pousse des vrilles due volubilis.

Elle continuait à dicter ses ordres à ses scribes , elle se faisait offrir des fruits des mets délicats .
Régulièrement Nasrédin étendait du linge il pleuvait, les escargots ragaillardis ruminés les fins de verdure : Nous a en a même vue des pointes de vitesse. Les oiseaux de Narsédin baignait cette embarcation de leur mélodie.


Un ordre avait été envoyé par des colombe voyageuses dans tous les villages du trajet jusqu’aux portes de l’enfer , pour facilité la traversée des villages de Patience





suite dans les jours à venir
par Frankie Pain
Sous la direction d'Olivier Apert




premier jet

6 commentaires:

  1. coquilles de fautes
    désolée lecteurs frankie belle journée

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  2. Alors je vais suivre la suite de ces péripéties. Bonne soirée.

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  3. Réponses
    1. merci de ta visite et je suis fort surprise de ton blog
      amoureuse des elfes des fée
      tu viens de nourrir de grâce et de beauté l'écrit que j'ai en cours pour le printemps des poètes que je donnerai en public le 10 mars
      merci et à bientôt sur mon blog aussi à très bienôt

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  4. Ton conte commence bien, je me réjouis de lire la suite.

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    1. merci pour le début de mon conte
      et d'ailleurs quand il sera fin , je t'autorise à me faire des suggestions mes savoirs furent à travers mon jeu de comédienne à travers les tragédies que j'ai traversé
      n'hésite pas car je ne suis pas à l'abri d'une erreur
      je te remercie par avance puisque toi la gréce c'est ta vie , ta passion , et à ce propos je t'envoie à toi et tous les êtres que tu aimes toute mon empathie,
      j'espére que les dernières intervention puissent remettre de l'espoir et du concret
      je t'embrasse fort

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