samedi 4 février 2012

"couper la langue" la residence d'OlivierApert sous la direction d'Olivier



Je retrouve le bonheur de travailler la languie avec ce grand auteur , poète essayiste, librettiste et traducteur.
Nous ne pouvons progresser dans notre langue qu'avec des plus initiés et pointus que nous , j'ose dire le privilège de le retrouver
je vous mettrai des lien sur l'activité "hippocampe associé"



« Couper la langue ! ».
La plus belle basse.
Si elle avait pu la mettre dans sa poche.
Dans certaines conditions çà peut se recoudre…
On va lui faire la peau à cette meuf.
A 5 heures du mat, qu’est-ce qu’elle avait à trainer
sur une aire d’autoroute ?

La sangria musquée.
Les danseuses terrifiques,
Leur chutes de reins,
leur coup de talon,
la castagnette.
On les avait encore dans l’oreille
Tout le chemin.
Pecho ,nos corps de matchos :
Aldente à des ruts à la boulette Russe.

Merde ses graves.
Cette nuit avait dégoupillé
son futal noir-cuir du gaucho
en goguette-concert.
Quel con ! Quel con !

Dolorés l’aurait bien pris chaud comme çà.
L’exotisme. Le grand frisson.
Qu’est-ce qu’il va dire à Dolores ?
Sans langue ; çà va parler tout court.
Dans la prise : l’embrasser.
Il se fait toujours avoir avec son côté
rock-rome-antique, Saint Mitouche de la mer.
Dolores va l’éclater de ses trois pots de géraniums.
10 jours à peine que je lui ai chapardés.

Tiens les v’là qui déboulent.
Tant mieux : ce couloir au sous sol !
Et la Mercédes refaite pleine de sang :
C’est trop.



suite demain d'un autre point de vue d'un événement

flag la pine up

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