vendredi 11 avril 2014

le printemps est arrivé. "Ah! mon Eldorado !"


je devais écrire « l'eldorado du corps »,

photo de la production du film 
 "Le fabuleux destin d'Amélie Poulain"
Rôle la marchande de journaux


je l'ai fait, je l'ai lu dans une galerie d'art contemporain  à Paris lors d'une exposition de "nus nues" avec Mireilla Rosner qui connait bien mes textes. Il y avait 80 personnes autant d'hommes que de femmes et chacun avait été très intéressé, et heureux même. Je doutais  de l'intérêt de ce type de livre, et aussi le mâle, mal que cela fait...

 et puis dimanche sur le marché je parle au marchand de bijoux nous plaisantons, et il me demande conseil  avec ses copines, il n'a pas la main verte comme je peux m'exprimer et je repense à « ce livre qui dort... » , il m'encourage à le ressortir. Je le fais mais dans l'épure juste un, deux, trois détails et font font font les marionnettes… je pense que dans la vie suffisamment de personnes ont été écoute ardente pour leurs  amies, amis en souffrance, pour que nous soyons initiés  les histoires dans le détail  je n'en vois pas l'intérêt sauf le détail : celui qui tue ou qui ressuscite.

si vous avez des « short cut » de texte que vous vouliez confiez au blog ou au livre je suis prenante car c'est l'histoire de nous, nos  chemins à l'autre ,  de la rose qui appelle par son parfum envoutant  quel « jean cana »(phonétique) entre les épines et encore parfois le scénario est si bien fait que nous voyons trop tard, même si toutes les sirènes d'alarme en nous , de nos amis... il y a parfois des césures : faut être très profileur  pour l'imaginer...

dites moi si le vendredi

jour du poison, pardon poisson, jour maigre,

çà vous direz d'en avoir une petite chronique..

gros bisous belle lecture.


ce texte est hard,

toute personne sensible s'abstenir,

interdit aux moins de 18 ans.

Rencontrer l'autre : c'est parfois croisé le diable !


L'eldorado à l'autre.

Le bourreuhsain : une paille.


Ça nettoie. L’on te ramène dans la terre.


Ce miroir. 



Après coups : brisée.


Voir sa tronche en décalcomanie. Devenir

 éléphante woman. 

L’écho dimension variable suivant les

 brisures du miroir.


Constater. 


Trouver quelqu’un, le prendre par la

 manche,


voir avec moi ce qui se passe dans le

miroir.




Le marié  A. a  vue la gonflette en direct. à

 vue.


L’impact . Cet impact là.


Un mariage, où j’avais été invitée avec mon

 fiancé


sous mes yeux mon mec drague une femme,


rigole , lui roule des patins 


devant moi, 


disparait de la table revient 3 heures plus

 tard 


avec de la paille sur le smoking


ainsi que la femme crapahutée qui rit

 comme une toupie.


 Il fallait qu’elle le crie  son orgasme à

 toute l’assemblée

cette  vielle peau fripée.
 
Avec la queue qu’il a, 


 il suffit de s’empaler, d’attaquer,


 le point A et tu le lèves le lièvre


 qui rend fou et te zèbre l’échine. 


Fastioche !


Il n’y a qu’à dire merci à dame  nature. 


Plus ils sont bien servis sur la balan

ce du distributeur de miracles


plus dans leur main de la besogne


 n’est pas un poils qui  demeure , non :  une

 perruque* . 





* : Merci Ramalane pour son expression des ateliers des Ecritures de l’Hajat session : la Casa AmÖva.

l'auteure FFPLM
les droits sont réservés


Photo de la production : Film japonais "la maison de l'Orme "!?
c'était un titre provisoire.
Rôle  patronne d'un bistrot cossu de Saint Malo

très bon vendredi et à demain pour l'instantané gros bisous


5 commentaires:

  1. Quel minois attachant, très chère Frankie...

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  2. patronne de bistrot ou marchande de journaux le regard ne trompe pas Frankie...
    il faut que tes histoires brèves paraissent et vivent leurs vies .
    Je te fais mille bises ensoleillées

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  3. J'aime toujours lire des histoires, on voit la vie différemment.Très jolie photo.

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  4. merci de vos petits mots
    à vendredi prochain alors...
    oui ma chère Solange le fil rose n'est pas associé à toute les histoires

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  5. Tu parles de textes en partage; je relis mes nouvelles, ça paraîtra un jour, à compte d'auteur, j'espère avant la fin d'année (datent du temps où je faisais des concours, parfois en gagnais...).. Gros bisous!

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