mercredi 15 avril 2015

Allégorie de l'Attente celle coupée du billet d'hier et une petite suite



L'attente Case majore 
en fragments comme je vous l'avez dit
et 3 suite

Je m’élance en gazelle dans le cours de l’Yser,
 m’acheter un morceau de chorizo chez les portugais du marché des Capucins. Pas le temps de penser qu’en on coure… 



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 La surveillante générale s’est organisée à choisir des pionnes pour me garder qui aimaient les arts, pour m’accompagner  au théâtre.  Et elle  nous  payait le théâtre.- Le miracle de ma vie était là…- Le temps de s’y rendre au théâtre, d’attendre la représentation, le retour : c’était de la conversation avec la pionne Melle Testevin. Je lisais beaucoup, même sans comprendre, au moins les titres faisaient parler Melle Testevin sur le livre, sur son auteur.  Mes oreilles grandissait comme des feuilles de choux tellement je ne voulais rien en perdre. Nous étions toujours très discrètes, la surveillante générale Madame Gatheron nous avait demandé le secret, elle prenait des risques  si cela venait à se savoir. Le mystère des weekends  à l’internat quand il était vide !...
La surveillante générale  de l’hôpital ..............elle  a rejoint la surveillante générale  de l’internat. Je suis callée de loin avec Elles. Elles m’ont vue. Elles m’ont fait un sourire encourageant. Sorte de supporters dans l’invisible, je suis reliée à Elles,…., …, ma peur se calme, je ne regarde plus les futures bachelières. J’oublie mon état de siège : Solitude, c’est toujours dans des moments comme çà que nous  la mesurons dans toute sa profondeur, sa largeur, sa période, sa couleur, sa  luminosité, son gouffre anthracite aspirant sa fontanelle  vers l’astre solaire. Ca usine de se regarder à l’intérieur, de se redresser …..  ......


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 Cette  vague scélérate nous  a brisé, elle nous a  engouffré dans quelque chose inaffectée comme  put l’être, le verre de ciguë de Socrate … ? … Oui !…. Repousser ce pan de mur, ces regards face des trente nanas « d’sa classe et d’ leur famille » : poids sans verve au moins même violents les mots, on s’y accrocherait ;  c’est le vent du Nord, le Mistral, l’Harmattan réunis……… Et les Alizées sous les pieds qui nous abattent.  ..........


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.....  J’ai tant besoin de moi, …. tout simplement. ….. Et je pourrai me faire dans  les culottes tant je suis dévastée d’être  sans ma famille autour de moi. ……..Une main. ……..la main……  une main dans ma main. …… C’est si simple mais  quand dans le registre gestalt chez eux (de ma famille proche)  …. Pas accès….. Pas d’accès,  ….. Plus le temps passe, plus  l’oxygène me manque,  je suis sur mes réserves de plongée sous marine,  je pompe trop,…..ah, ….ah …. temps volé à ma joie, …… tant volé à ma joie ,  à mon attente d’un bel événement. 






A partir du travail de Man ray
L'attente à deux
le dos de votre Map's Monde et l'autoportrait du photographe
c'était la photo de Virgin mégastor Pour le magasin de Musique au Louvre
gros bisous et pardon de cette fote technique . Merci de vos petits mots
. Frankie
ce soir je mets la fin 
et vendredi soir je vous laisserai des extraits 

belle journée le temps change mais hier c'était l'été
KIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISSSSSS

1 commentaire:

  1. Merci Frankie, comme ce texte tronqué manquait de toute la saveur de tes maux, cette attente du devenir en domptant ta frayeur avait besoin de tous les mots pour développer la saveur la pesanteur et l'émotion de cette page numéro 2
    je t'embrasse

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